Les Nuits du Couvre-Feu
2020 - 2021
Dyptiques: 170x120 cm et 170x85 cm // 100x70 cm et 100x50 cm
Tirage pigmentaire sur papier Baryta mat Canson 310gr. Encadrement caisse américaine, bois Wengé.
À travers l'obscurité des Nuits du Couvre-Feu, notre oeil distingue des fleurs, des branches, des feuillages, des sources lumineuses urbaines, des étoiles – et parfois la lune. Mais nos repères se brouillent au milieu des couleurs et des plans, les motifs se superposent, se multiplient, se transforment et nous emmènent ailleurs.
Le ciel se renverse, il semble accueillir des fonds sous-marins. Le vent devient aquatique. La nuit ressemble à l'océan. Les paysages communiquent, s'interchangent, jaillissent le temps de l'éclosion.
Catherine Gfeller a réalisé cette série pendant le premier confinement du printemps 2020, particulièrement luxuriant, où la nature a repris ses droits, son terrain d'expression. Malgré le couvre-feu instauré en France, l'artiste est partie explorer les rues vides de son quartier, sans croiser d'autres témoins. Aucune trace humaine, aucun bruit - mais de nombreuses fragrances.
En pleine période de pandémie mondiale, de troubles et d'introspection, les jaillissements du printemps recèlent des symboles, des espoirs. Ces pulsations nocturnes résonnent en écho à notre environnement contemporain. Ils nous offrent son envers et nous invitent à imaginer un monde nouveau.
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Les Nuits du Couvre-Feu I
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Les Nuits du Couvre-Feu II
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Les Nuits du Couvre-Feu XX
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Les Nuits du Couvre-Feu XXX
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Les Nuits du Couvre-Feu L
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Les Nuits du Couvre-Feu VI
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Les Nuits du Couvre-Feu LXXII
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Les Nuits du Couvre-Feu LXXI
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Les Nuits du Couvre-Feu LX
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Les Nuits du Couvre-Feu LXX
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Les Nuits du Couvre-Feu XLV
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Les Nuits du Couvre-feu LXXX
Tirage pigmentaire sur papier Baryta mat Canson 310gr. Encadrement caisse américaine, bois Wengé.
À travers l'obscurité des Nuits du Couvre-Feu, notre oeil distingue des fleurs, des branches, des feuillages, des sources lumineuses urbaines, des étoiles – et parfois la lune. Mais nos repères se brouillent au milieu des couleurs et des plans, les motifs se superposent, se multiplient, se transforment et nous emmènent ailleurs.
Le ciel se renverse, il semble accueillir des fonds sous-marins. Le vent devient aquatique. La nuit ressemble à l'océan. Les paysages communiquent, s'interchangent, jaillissent le temps de l'éclosion.
Catherine Gfeller a réalisé cette série pendant le premier confinement du printemps 2020, particulièrement luxuriant, où la nature a repris ses droits, son terrain d'expression. Malgré le couvre-feu instauré en France, l'artiste est partie explorer les rues vides de son quartier, sans croiser d'autres témoins. Aucune trace humaine, aucun bruit - mais de nombreuses fragrances.
En pleine période de pandémie mondiale, de troubles et d'introspection, les jaillissements du printemps recèlent des symboles, des espoirs. Ces pulsations nocturnes résonnent en écho à notre environnement contemporain. Ils nous offrent son envers et nous invitent à imaginer un monde nouveau.